images historiques

Nouveau post pour montrer des images historiques tout simplement

T95 ou M22 locust ?


Des binos sur un panther ? c'est pas useless...


Cocoricco ! Les AMX 13 de sortie !


AMX 13 en entrainement au combat en suisse


Stugg IV capturé par l'armée americaine


M18 Hellcat et si ! Un TD sans blindage en ville !

Peloton de M4A3E8 de bon matin...


AMX 50 Foch 155 au défiler du 14 juillet


Firefly au combat


M18 Hellcat en 1945


Découverte du 1er prototype du Maus en 1945 a Berlin par l'armée Russe


Essai du Maus prototype 1 en 1945

Test de l'AMX 50 100 entre 1949 et 1952






projet 279-1 (Object 279)


Carcasse de Tigre II retrouvé par l'armée rouge, voici un des flancs de tourelle comptabilisant plus de 60 impacts dont très peut on percés


Commandant de char T-34 rescapé de la destruction de son char (a sa droite) lors de la bataille de Koursk

AMX 50 100 lors du defiler du 14 juillet


AMX 30B2

Voici différentes images retrouvés des test du Maus en 1944/1945
Deux prototype ont été produits, un est complet et l'autre n'a pas d'armement et une tourelle prototype, il fut construit en decembre 1943, l'usine et l'endroit ou les deux prototypes ont été produits s'appelle Kummersdorf-Gut. Le second prototype (celui qui est operationnel) fut achevé en mars 1944.
Usine de Kummersdorf




Ici les deux Maus dans un hangar a Kummersdorf en janvier 1945


Ici test du deuxieme Maus (celui qui n'a pas d'armement)


Ici construction et assemblage en mars 1944 du 1er Maus


Soldats allemands patrouillant dans l'usine de construction du Maus

Ici le Maus 1 sur un terrain d'essai face a un kv-1 russe capturé en 1941 qui est utilisé comme cible de ramming


Mécaniciens et équipage allemand avec le Maus 1

Maus sur verrin hydraulique

Maus 2 en manœuvre


Maus 2 sur sa remorque ferré de transport


Ici Maus 2 détruit par l'armée rouge après sa capture en mars 1945


Ici le seul maus restant, la tourelle du maus 2, c'est le prototype qui a été détruit. Sa tourelle fut placé sur la caisse du maus 1, celui qui avait la tourelle prototype, voila pourquoi nous pouvons aujourd'hui voir le maus en entier.
Le Musée de Koubina, la ou il est exposé a été construit autour de lui tellement que le Maus est gros

aujourd'hui c'est le E100



En juin 1943, la compagnie Adlerwerke reçoit une commande pour le développement de la série E-100. Cependant, en 1944, le développement des chars lourds a été interrompu pour le Maus. À la fin de la guerre, seul le châssis avait été achevé, lequel a été capturé par l'armée anglaise plus tard puis démantelé complètement.

Ici un soldats britannique pose sur le E100 peut de temps avant son démantèlement

aujourd'hui c'est au tour de notre ami le M103

Le M103 était un char lourd américain développé à la suite du blocus de Berlin en 1948, afin d'appuyer les M48 Patton en cas de conflit armé avec l'Union des républiques socialistes soviétiques. Le M103 fut déployé en 1954 et fut retiré du service actif en 1974.

M103 en test de combat

aujourd'hui le T69





En mars 1951 un nouveau char est dessiné, le T69 heavy tank avec un nouveau système de tourelle oscillatoire ( reprenant les prototypes d'amx 50 Français tester entre 1948 en 1951).
Armé d'un canon de 90mm inm gun celui du T139 avec un système a barillet pour une mise a feu simplifié et plus rapide (j'ai du mal a traduire certains mots complexe mais je retiens l'essentiel de l'article que j'ai trouvé). En octobre 1952 il a été nommée comme T69 9Q-inm gun tank.



Six modelés de conceptions de tourelle ont été évalués  avant que l'on n'en sélectionne un
pour le développement. Même alors, il était nécessaire d'étudier en détail la
protection balistique offerte par cette conception; cela a été fait par fait plusieurs test de tourelles balistiques. Seulement après cette question réglée il fallait passer à l'assemblage final.





La construction d'un modèle pilote commencé. Ce modèle, utilise la coque de l'un des six modèles de T42 (un autre prototypes américain), il a été achevée au début de l'année 1955 et a été expédié pour les tests d'ingénierie, qui a débuté en mai et qui ont continués plus tard.

Vues du poste de tir et du commandant de char, la trappe de tourelle ouverte


Cependant a cause de la méticulosité de quelques pièces du système du barillet  le véhicule n'a jamais était produit en masse et délaissé au profit du développement de la série Patton (M46,M47,M48) et du M41A1 Walker Bulldog dont la conception étais plus avancé et moins complexe.

intérieur de la tourelle (exclusive)

Ici culasse et mitrailleuse coaxiale


ici épiscope et volant de contrôle de la tourelle


poste radio et un morceau du système du barillet (à droite)

Aujourd'hui ...les british

Le Comet (A-34) est le dernier char de combat britannique entré en fonction durant la Seconde Guerre mondiale (décembre 1944).

Le Comet ne participa à aucun engagement majeur, même s'il prit part à la traversée du Rhin et au défilé de la victoire à Berlin en juillet 1945. Sa vitesse de 50 km/h fut très appréciée sur les autoroutes allemandes.

Durant la Guerre de Corée (1950-1953), le Comet fut utilisé aux côtés du Centurion, un char plus lourd introduit à titre expérimental à l'extrême fin de la Seconde Guerre mondiale (et basé en partie sur le Comet).

Le Comet resta en fonction dans les forces britanniques jusqu'en 1958, où les exemplaires survivants furent vendus à des armées étrangères ; certains restèrent en fonction jusque dans les années 1980, par exemple en Afrique du Sud.

Un Comet de la 11eme division blindé britannique sur la tête du pont de la weser en Allemagne le 7 avril 1945


un autre Comet de la 11eme division blindé britannique traversant la weser a petershagen le 7 mai 1945...on peu voir un second comet derrière


Ici un Comet passant a coté d'un tigre I qu'il a lui même réduit en tas de ferraille tordu, rouillé et fumant...simple cercueil de tôles nazi.

aujourd'hui L'amx 30B...


L'AMX-30 est la deuxième génération de char de combat principal qui a équipé l'armée française pendant plus de trente ans.

Ce char de deuxième génération a été construit à environ 3 500 exemplaires dont plus de 1 100 versions dérivées à partir de 1966.



L'AMX-30B est mis en service à partir de 1967. Le premier régiment à en être équipé est le 503e régiment de chars de combat à Mourmelon.


Son armement principal est un canon GIAT CN-105 F1 à âme rayée d'un calibre de 105 mm, opéré par le tireur ou le chef de char (qui a une commande prioritaire), et la télémétrie optique est opérée par le chef de char qui définit la cible, calcule la distance et transmet les informations verbalement au tireur.





L'AMX-30B est reconnaissable de l'AMX-30B2 par les optiques de télémétrie de part et d'autre de la tourelle.
L'AMX-30 dispose en armement secondaire d'un canon automatique coaxial de 20 mm, en remplacement de la mitrailleuse de 12,7 mm d'origine, et armant également l'AMX-10 P.



Celui-ci a pour particularité de pouvoir être sur-pointé en site, indépendamment du canon principal, pour servir de DCA légère.
Une mitrailleuse de 7,62 mm couplée à un projecteur (pouvant recevoir un filtre infrarouge pour la vision de nuit) est fixée sur le tourelleau et commandée depuis l'intérieur par le chef de char.



Des lance-pots fumigènes disposés de part et d'autre de l'arrière de la tourelle complètent la défense rapprochée de l'engin blindé.
L'ultime évolution est l'AMX-30 Brennus, qui est un AMX-30B2 recouvert de briques de blindage réactif. À partir de 1998, les différentes déclinaisons de l'AMX-30 commencent à être remotorisées après l'achat de 500 Renault Mack E9 fabriqués aux États-Unis.

le développement Somua SAu 40 SPG est basé sur la conception du S35 . A l'origine de ce chasseur de char devait être armé avec le nouveau 75mm " forte puissance " APX gun. Toutefois , cette arme avait des problèmes de sorte qu'il a été décidé de développer le SAu 40 comme un chasseur de chars , armé du 47mm mle 1937 ( la même arme que le 47mm de l'Artillerie)  . Seulement un prototype était disponible en Juin 1940.

alors continuons sur les frenchies...
L'arl 44...

Le char ARL 44 est un char lourd français, produit juste après la fin de la Seconde Guerre mondiale.

Seuls 60 exemplaires sont sortis des chaînes d'assemblage, avant que son concept ne soit abandonné.

L’ARL 44 équipe le 503e régiment de chars de combat, stationné à Mourmelon-le-Grand, en remplacement des dix-sept Panther utilisés par le régiment avant la fin des années 1950.

L’ARL 44 est tout d’abord très peu fiable. Les freins, la boîte de vitesses et les suspensions sont trop frêles. Un programme de remise à niveau permet de remédier à la plupart de ces insuffisances.

L’ARL 44 ne fait qu’une seule apparition publique, où dix chars participent au défilé du 14 juillet 1951. Lorsque le char américain M47 Patton devient disponible pour les pays de l’OTAN, doté également d’un canon de 90 mm, les ARL 44 sont réformés en 1953, et utilisés comme cibles pour les exercices de tir. La rumeur selon laquelle la majeure partie des ARL 44 a été exportée vers l’Argentine est infondée.

Seuls cinq exemplaires subsistent. L’un au musée des blindés de Saumur, le deuxième dans la cour d’honneur du 503e régiment de chars de combat de Mourmelon-le-Grand, le troisième n’est qu’une épave se trouvant dans la zone technique du 2e régiment de dragons à Fontevraud-L'abbaye.

Il fut réformé en 1954, 5 ans à peine après sa mise en service.





Pendant l'occupation allemande de la France, des études clandestines sont menées pour le développement de chars d'assaut.
Elles se limitent pour la plupart à la conception de pièces ou à la construction de châssis chenillés, sous couvert d'un prétendu usage civil ou d'un usage pour la Kriegsmarine.





Le but de ces diverses initiatives était d'arriver à les combiner pour mettre au point un char de combat de 30 tonnes, armé d'un canon de 75 mm.
La construction est confiée aux Ateliers de construction de Rueil (ARL), ce qui implique la dénomination du char, ARL 44, avec 44 pour 1944, année de conception.
Le cahier des charges n’était initialement pas très ambitieux, portant sur un véhicule d’une trentaine de tonnes avec un blindage de 60 mm, et armé du nouveau canon long de 75 mm modèle 44 – lequel permettait de perforer 80 mm d’acier à 1 000 m – développé par Lafargue à partir du canon de 75 mm CA32.

Contrairement à ce qu’exposent certaines sources4, l’ARL 44 ne provient pas directement du projet antérieur ARL 40. Les ingénieurs ont bel et bien tenté d’utiliser au maximum les nouveaux éléments développés entre 1940 et 1944, bien que la plupart d’entre eux s’avérèrent impossibles à intégrer. De leur inspiration sur d’anciens modèles, le bureau d’études dota l’ARL 44 d’antiques suspensions verticales à ressort hélicoïdal avec les toutes petites roues du B1, limitant malheureusement la vitesse de point du nouveau char à environ 30 km/h.

L’idée de recourir à des suspensions de conception plus récente, mais d’origine étrangère, comme des suspensions Christie, fut tout simplement évincée sous le prétexte qu'un tel emprunt aurait compromis le caractère « 100 % français » du char. Dans la même veine, la motorisation fut pensée tout d’abord sur la base d’un Talbot de 450 ch ou d’un Panhard de 400 ch.
Le développement fut très lent, du fait du manque de ressources et d’infrastructures dans la région parisienne, suite aux destructions lors des bombardements. Il était même compliqué de trouver du papier ou du matériel à dessin.


En mars 1946, le premier prototype arrive au banc d’essai. La tourelle, modèle ACL1, est produire par les Ateliers et Chantiers de la Loire, avec un canon de 76 mm américain.

Elle est ensuite remplacée par une tourelle Schneider, cousine de celle destinée au char F1 et équipée du canon de DCA navale de 90 mm à frein de bouche, faisant de l’ARL 44 le premier char français à bénéficier de cette technologie.
Les essais au pas de tir débutent le 27 juin 1947, et prouvent une meilleure précision que le canon KwK 42 du Panther allemand, pris comme témoin lors des essais.



À cause majoritairement de ce changement tardif d’armement principal, la conception de la tourelle prend du retard. Ce n’est qu’en 1949 que l’on arrive à adapter les tourelles sur les caisses. Celles-ci sont stockées depuis leur production en 1946.
Finalement, l’ARL 44 constitue un médiocre intermédiaire conceptuel pour l’arme blindée française, qui reçoit après coup le rétronyme de « char de transition ».



Sa fonction principale aura finalement été de permettre aux ingénieurs français de concevoir et construire des chars plus lourds, et de se rendre compte qu’il n’était pas opportun de penser des chars trop lourds. Cette opinion est renforcée par l’échec du projet suivant, plus ambitieux, de l’AMX-50.
Ce n’est finalement qu’après une césure de seize ans que la France arrivera à concevoir un nouveau char de combat principal, l’AMX-30, sorti en 1966.

Bon travail bien expliqué.

oui et dsl que ton char préféré soit un " char de transition " et de faible fiabilité et un peu une tentative manquée

Peut être mais c grâce à lui qu'on a fait l'AMX 30 et aujourd'hui l'AMX Leclerc (les ingénieur ont appris de lui).

exactement, surtout que l'amx 30 a été retiré du service en 2011..c'est donc récent...et d'ailleurs....il est encore utilisé pour la formation des tankistes.
Le Amx leclerc n'est pas non plus une bête malgré sa modernité comparé aux derniers abrams et au nouveau T-14 russe et le T-72 qui est une modernisation multiple du T 62A et qui par ailleurs est extrêmement répandu dans les guerres d'aujourd'hui (Palestine etc etc ), produit a plus de 20 000 exemplaires !

Par ailleurs le T62A était tellement avancé pour son temps, qu'aujourd'hui encore il est utilisé dans plusieurs pays

T-72:


T-62A:


après, un char ressemblant au leclerc, on a l'Amx 45:


Qui d'ailleurs est entré en service en 1974 et qui a été modernisé plusieurs fois, il est encore en service a l'heure actuelle mais peu connu pouvant atteindre les 70km/h.

et un développement de l'Amx 60 a dors et déjà débuté .....

D'ailleur, un exemplaire de T62 est en état de fonctionnement au musée des blindés de Saumur, en France:

tutafait...il ont juste ajouté l'équipage desséché mort depuis longtemps...depuis ma dernière visite

Voila la photo que j'ai prise de lui en 2010...au même endroit.....l'equipage en moins et la tourelle a pivoté par rapport a ta photo...le char a gauche de ton T62 lord est un T54/55 une version très proche du T62.

alors aujourd'hui...le FV 214 Conqueror


Le FV214 Conqueror, aussi connu comme Tank, Heavy Gun No 1 120 mm Conqueror était un char de combat britannique de la Guerre froide, parfois classé parmi les chars lourds.





Il fut conçu pour répondre au char lourd soviétique Josef Stalin IS-3, avec un canon de 120 mm nettement plus gros que l'Ordnance QF 20 pounder de 83,4 mm des chars Centurion de l'époque.





Son rôle était de fournir un appui anti-char à longue portée aux Centurions. Chaque régiment blindé des troupes d'occupation britanniques en Allemagne en reçut neuf ; ils opéraient habituellement par trois.
Mis en service en 1955, il fut remplacé par le char Chieftain en 1966, sans avoir jamais combattu.

De gauche a droite : le FV 214 Conqueror, le FV 4001 Centurion (mk.I), le FV 4201 Chieftain



Comme la plupart des blindés britanniques, son nom commence par C ; il évoque Guillaume le Conquérant (William the Conqueror).

Vue de la culasse



Le blindage était très épais pour l'époque, surtout devant, où il faisait 178 mm (horizontalement). La tourelle était énorme, en rapport avec la taille du canon, et l'ensemble était très lourd, ce qui réduisait sa vitesse et le rendait peu fiable.

Cependant, comme le char Churchill de la Seconde Guerre mondiale, il était bien adapté au tout-terrain, où il dépassait parfois le Centurion, pourtant plus léger et théoriquement plus rapide.

Un des éléments particuliers était la coupole de commandement rotative, centre du système de tir du Conqueror, qui était avancé pour l'époque.

Voila le Conqueror au musée des blindés de saumur :





Le commandant pouvait aligner la coupole sur une cible indépendamment de la tourelle, mesurer la portée , et orienter le canonnier vers le nouvel angle indiqué par la coupole. En théorie, lorsque le canonnier alignait la tourelle, il trouvait automatiquement la cible dans son viseur, prête à être attaquée.
Pendant ce temps, le commandant pouvait préparer l'attaque de la cible suivante.



Ce système a peut-être été inspiré par un système comparable présent sur les Panzers allemands et apparemment très efficace. Il ne fut pas reproduit avant l'apparition de versions électroniques sur des chars beaucoup plus récents comme le M1 Abrams et le Challenger 2.

A noter que la taille et le poids du Conqueror étient tels qu'il ne pouvait pas être transporté par voie ferrée. Si on ajoute sa faible autonomie (175km), on comprends que la pauvre bête ne soit pas restée souvent en service.

oui comme le Tigre I, faut changer les chenilles pour le transport.....mais ce n'est pas le pire tank au niveau autonomie...la maus a 62km d'autonomie....franchement c'est un bon camping car mais faut faire souvent le plein

tien regarde, y'en a qui arrive a transporter le conqueror

alors maintenant un pavé de photos, de la chance, le Batignolles Chatillon 25T....

Le char Batignolles-Châtillon 25T est un char français développé par Batignolles-Châtillon dans les années 1950. Il est conçu pour une classe de poids de 25 tonnes, ce qui est deux fois le poids de l'AMX-13.





Son armement principal est un canon de 90 mm, exploité par quatre membres d'équipage.





Armement secondaire
mitrailleuse de 7,3 mm



Sa vitesse peut atteindre 65 km/h.

Deux prototypes sont fabriqués avant sans être concluants. Toutefois, certains principes de conception de la caisse et une partie de sa technologie ont été utilisés dans d'autres véhicules de combat blindés français.





Un de ces modèles est exposé au musée des blindés de Saumur.




Alors voila quelques images détaillées du poste de pilotage







et diverses prives de vues :


la trappe ronde sur l'arrière de la tourelle est ouverte en temps de combat a chaque fois qu'un obus du barillet est tiré il est éjecté mécaniquement par cet trappe





En récapitulatif le bat chat 25t est un char magnifique qui hélas n'a jamais conquis l'armée malgré sa vitesse, son canon et sa maniabilité sans oublier son système de tir.
Il est comme la majorité des chars d'entre guerre, simple char de transition dont son principe de conception a été repris pour les chars suivants... .